vendredi 23 septembre 2011

l'Islam est destructeur de civilisation

Voici un article trouvé sur le site République de Bananes, intitulé : Australie : La charia détruit la cohésion sociale.
Si ça pouvait en aider quelques-uns à se réveiller...!


Bill Muehlenberg vit à Melbourne. Ancien vice-président national de l'Association des familles australiennes, il tient une chronique appelée Culture Watch.
Dans un récent billet, il parle de la charia comme facteur de dislocation sociale plutôt que de cohésion. Chez nous, les partisans des accommodements religieux nous disent, contre toute évidence, que ces accommodements favorisent l'intégration. Pourtant, partout en Occident et ailleurs l'expérience démontre le contraireEn Australie, relate Muehlenberg, de plus en plus d'activités organisées par les villes interdisent la mixité des sexes.
Australie-mufti
Dr Ibrahim Abu Mohamed, récemment désigné grand mufti d'Australie. Il est si peu intégré qu'il s'exprime via un interprète car il ne parle toujours pas l'anglais après 20 ans de résidence en Australie. Il croit aux vertus de la charia pour l'Australie.
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Pendant la Guerre Froide, alors que des millions de malheureux subissaient le joug et la servitude du totalitarisme communiste, les apologistes occidentaux (adhérents du parti communiste ou simples « idiots utiles ») s’efforçaient, sans relâche, de nous convaincre des bienfaits que le communisme aurait pour le monde libre.
Or, les gens aiment voter avec leurs pieds et des millions de personnes essayaient de fuir à tout prix la tyrannie du communisme. C’était une voie à sens unique car personne ne désirait aller s’installer dans ces lieux de l’enfer communiste. Nous observons de nos jours une situation similaire avec l’islam.
Partout, dans le monde entier, des gens essaient de fuir leur pays de tyrannie musulmane pour venir s’installer dans les nations occidentales libres, démocratiques et prospères. Et là encore, sévissent les agents de l’idéologie de l’islam et leurs idiots utiles, s’efforçant de nous convaincre que l’islam serait une religion de paix et que la charia pourrait coexister avec la démocratie occidentale et les libertés occidentales.
On nous gave en continu de cette ligne idéologique. Considérons par exemple les articles de la presse australienne d’aujourd’hui. Le principal chef musulman d’Australie tient à nous faire savoir que tout va bien quand la charia s’implante dans une nation occidentale. Selon lui, tout dans la charia serait douceur et clarté. Voici comment un reporter couvre l’histoire :
 La loi religieuse de l’islam, ou charia, est souvent dénigrée alors qu’elle est basée sur la liberté et la tolérance, prétend le nouveau grand mufti d’Australie. Le Dr Ibrahim Abu Mohamed, qui vient d’être élu mufti ce week-end par des imans et autres sheiks, affirme également que la charia est tout à fait compatible avec les lois australiennes. «La charia, elle aussi, fait appel à la liberté, à la justice et à la liberté d’expression et c’est quelque chose qui représente une grande chance pour nous» poursuit le Dr Mohamed, par le truchement de son interprète, en s’adressant hier aux journalistes de Sydney. 
«Toutes ces choses, nous les appliquons actuellement ici en tant que citoyens australiens et nous sommes fiers qu’elles deviennent des valeurs australiennes». Ce docteur de l’islam, né en Egypte, dit que des châtiments corporels controversés infligés par la charia ont souvent attiré l’attention mais ne concernent qu’une partie infime de la charia. Le Dr Mohamed dit qu’il ne veut pas prêcher la charia mais qu’il veut que les gens en aient une meilleure compréhension.
En tant que nouveau chef religieux des communautés musulmanes d’Australie, il dit qu’il va tout d’abord «corriger» les musulmans australiens attirés par l’extrémisme. «Si de telles idées et éléments existent dans toutes les communautés… c’est notre rôle de corriger des idées extrêmes et de les ramener sur les rails ».
La première évidence, pour nous, est de nous interroger sur les forces intégratives de la charia alors que ses plus éminents partisans ont besoin d’un interprète pour s’exprimer.  Ainsi que le fait remarquer Andrew Bolt : « Si les musulmans voulaient rassurer les Australiens autrement qu’en répétant que leur foi s’intègre bien dans la culture australienne, ce serait un signal positif si leur éminent porte-parole se montrait lui-même assez intégré pour communiquer en anglais, la langue du pays où il réside depuis vingt ans».
En réalité, et j’en ai fourni des preuves abondantes, l’application de la charia en Occident n’a rien à voir avec l’assimilation ou l’intégration mais beaucoup à voir avec la mise en œuvre d’un système politique et social diamétralement opposé au nôtre, voué à être appliqué à la lettre lorsque le nombre de musulmans sera suffisant pour une totale prise de pouvoir sur les nations occidentales. Les activistes musulmans ont clairement indiqué que c’était-là leur stratégie favorite. Ils essaient de persuader les crédules et somnolents Occidentaux que les deux systèmes peuvent coexister, tout en posant des jalons pour, le moment venu, appliquer complètement l’hégémonie de l’islam totalitaire.
Il nous suffit de voir comment les minorités non-musulmanes sont traitées dans les pays à majorité musulmane pour nous faire une idée. « La charia est la liberté, la charia respecte les autres, la charia est la justice » répètent-ils. Mouais, essayez de raconter cela aux dhimmis obligés de survivre en citoyens de seconde zone dans les pays musulmans. Essayez de raconter cela aux femmes, aux chrétiens,  aux Juifs, ou à tous les autres qui refusent la soumission à Allah et à la charia. Il n’y a ni liberté, ni respect d’autrui, ni justice en Arabie Saoudite, en Iran ou en Syrie. Il n’y a que cruelle oppression et persécution des non musulmans.
Et nous avons déjà beaucoup de preuves de la façon dont la charia s’infiltre dans les pays occidentaux. J'en ai donné de nombreux exemples sur mon site. En voici trois autres : un de l’étranger et deux de l’Australie.  
Cet exemple d'application de la charia vient de la Norvège :
Un Afghan converti au christianisme menacé de mort après avoir été attaqué à l’eau bouillante et à l’acide dans une centre de demandeurs d’asile […] «Deux résidents musulmans m’ont demandé pourquoi je ne jeûnais pas pendant le ramadan, je ne voulais pas leur répondre mais ils voulaient en discuter, l’un d’eux a dit qu’il savait que j’étais un ex-musulman converti au christianisme et qu’ils devaient faire le djihad» raconte Ali. L’un d’eux a maîtrisé Ali pendant que l’autre le frappait sur la nuque avec une bouilloire d’eau très chaude, jusqu’à  l’évanouissement. L’eau bouillante a brûlé son cou et le haut du dos, d’où la peau a disparu par plaques. Un troisième homme est entré dans la chambre d’Ali et a tout saccagé.
Un exemple moins grave vient de Melbourne. Il illustre encore une fois combien l’application de la charia ne vise pas l’intégration dans la culture australienne, mais la séparation de celle-ci, avec défi. Un article rapporte ce qui suit :
La ségrégation des sexes se répand : deux autres évènements officiels organisés par des conseils municipaux ont été interdits aux hommes sous prétexte qu’il «n’est pas approprié» que les hommes socialisent avec les femmes musulmanes.
Et dans un revirement surprenant, le tribunal administratif de Victoria a confirmé la légalité de la dernière exclusion des hommes, déclarant qu’elle n’était pas discriminatoire et que les conseils n’avaient plus besoin de demander des exemptions. L’interdiction des hommes décrétée par le conseil de la ville de Darebin sera en vigueur pendant un concert de musique qui se tiendra en décembre, tandis qu'un autre événement pour femmes seulement pour marquer la fin du mois du ramadan a été annulé la semaine dernière.
Le conseil a demandé ces interdictions au motif qu’il est «culturellement inapproprié pour les jeunes femmes de participer à des activités récréatives en présence d’hommes». Le président des contribuables de Victoria, Jack Davis, a toutefois déclaré qu’il s’agissait d’un «autre cas de ségrégation». «J’estime que c’est totalement inacceptable. Je crois que c’est ridicule, il s'agit de discrimination, et que cela va à l’encontre de ce que veut le contribuable moyen», a déclaré M. Davis. «On voit de plus en plus ce genre de chose».
Et considérez cette déclaration d'un groupe musulman de Perth au sujet d’un hôpital nouvellement construit :
Il est important pour nous, comme musulmans, de nous unir sur cette question et de faire pression pour obtenir une salle de prière séparée. Vous êtes priés de lire la pièce jointe qui explique les raisons pour lesquelles nous avons besoin d’une salle séparée et pourquoi une salle multiconfessionnelle ne convient pas. En bref, seule une pièce séparée garantit que nous serons toujours en mesure d'accomplir nos cinq prières quotidiennes sans être dérangés, que nous aurons suffisamment d’espace pour nous prosterner, que l’endroit sera propre et exempt de toute représentation idolâtre, picturale ou autre.
Nous avons eu des discussions préliminaires avec le ministère de la Santé sur la question d'une salle de prière séparée. Ils nous ont révélé qu’au départ, ils n’envisageaient pas une salle séparée pour les musulmans mais plutôt une salle multiconfessionnelle. Toutefois, puisque la question a été soulevée, ils envisagent maintenant de le faire et sont intéressés d’évaluer les besoins de la communauté musulmane et le niveau d’appui en faveur d’une salle de prière séparée.
Partout nous n’observons que séparatisme et exclusion mais jamais d’intégration ni d’inclusion. Cela n’est pas une surprise en soi puisque les musulmans considèrent les kouffars (non-musulmans) comme des infidèles, des impurs, avec lesquels il ne faut en aucun cas se lier d’amitié (voir en particulier les sourates 3.28, 9.29, etc.). Ainsi la ségrégation est à l’ordre du jour. Dès lors, on voit mal comment les sociétés occidentales pourront maintenir un minimum de cohésion sociale avec la promotion de cette sorte de mentalité.
Nous pouvons considérer les remarques du grand mufti d’Australie comme des exemples, parmi tant d’autres, de tromperie (makara) et de double langage (takiyya). Ce sont des méthodes sacralisées que les musulmans sont justifiés d’utiliser contre les infidèles.  Les réflexions du mufti font partie de la propagande de guerre, mais nous devons regarder ce que cache le voile de sa rhétorique. Nous savons comment les kouffars sont traités en terre musulmane, et nous savons comment ils seront traités au fur et à mesure de la progression de l’islam en Occident.
Source : Is Sharia Good For Us?, par Bill Muehlenberg, Culture Watch, 20 septembre 2011. Traduction par Capucine pour Poste de veille

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